7. S’il ne l’est pas, le maître de la maison comparaîtra devant Dieu pour savoir s’il ne s’est pas emparé du bien de son prochain.
8. Dans toute affaire frauduleuse, qu’il s’agisse d’un bœuf, d’un âne, d’un mouton, d’un vêtement ou de n’importe quel objet perdu dont deux personnes revendiqueront la propriété, les deux parties porteront leur litige devant Dieu ; celui que Dieu déclarera coupable restituera le double à l’autre.
9. Si un homme confie en garde à son prochain un âne, un bœuf, un mouton ou tout autre animal, et que celui-ci meurt, se casse une patte ou se fait capturer par des voleurs sans qu’il y ait de témoin,
10. un serment prêté au nom de l’Eternel départagera les deux parties. Celui qui avait la garde de l’animal jurera qu’il ne s’est pas emparé du bien de l’autre, et le propriétaire de la bête acceptera ce serment sans qu’aucune indemnité ne lui soit versée.